Iran Press/Nouvelle d Iran : Le directeur de l'Organisation de l'énergie atomique d'Iran (OEAI), Mohammad Eslami a également appelé l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) à encourager et à soutenir les activités nucléaires pacifiques.
Le haut responsable nucléaire iranien a souligné: "Nous ne devons pas garder nos discussions avec l'AIEA confidentielles et nous devons publier les discussions sur le site Web de l'Agence internationale de l'énergie atomique pour que tous les pays puissent les lire, car lorsque nous répondrons à la lettre de l'AIEA en secret, elle ne sera pas publiée et ils feront de la propagande."
Mohammad Eslami a ajouté que de nombreux pays indépendants se sont également plaints de l'influence des pays puissants dans les organisations internationales.
Le directeur de l'Organisation de l'énergie atomique d'Iran explique comment fonctionne l'installation de la caméra avec l'AIEA
Mohammad Eslami a expliqué ailleurs les caméras installées dans les installations nucléaires iraniennes, y compris les caméras liées à la sauvegarde et celles liées au plan d'action global commun (PAGC).
Comme pour ce dernier, le directeur de l'Organisation de l'énergie atomique d'Iran a déclaré que les bandes mémoire des caméras installées dans le cadre de l'accord de sauvegarde ont été examinées sur place, grattées ensuite, et mises dans des enveloppes avec les fragments, et finalement remises à l'Organisation de l'énergie atomique comme l'un des articles à sceller et à jeter afin que personne n'y ait accès.
"Dans le cas des caméras liées au plan d'action global commun, les inspecteurs de l'AIEA sortent l'ancienne carte mémoire, la scellent puis la conservent en lieu sûr; la carte mémoire n'est pas examinée et l'inspecteur n'y a pas accès et ils insèrent seulement la nouvelle carte mémoire", a exploré Mohammad Eslami.
L'Iran a fait preuve d'une grande confiance envers l'AIEA
Le directeur de l'Organisation de l'énergie atomique d'Iran a souligné l'entrave des américains aux activités nucléaires pacifiques d'autres courtisans en affirmant que le réacteur iranien à eau lourde d'Arak a été créé pour aider à produire des produits radiopharmaceutiques. Pourtant, lors de sa fermeture, son eau lourde était censée être vendue et exportée conformément au Plan d'action global commun mais les américains ne pouvaient pas non plus tolérer la maîtrise de l'Iran sur les nouvelles technologies.
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