Les participants à la conférence de Paris ont souligné la nécessité de tenir des élections libyennes à la date prévue, ainsi que le retrait des troupes étrangères du pays.

Iran Press/Le Monde: Des responsables de 30 pays participant à une conférence à Paris vendredi sur les développements en Libye ont déclaré qu'ils imposeraient des sanctions à ceux qui tentent d'empêcher les élections présidentielles et parlementaires du 24 décembre.

Les pays participant au sommet sont l'Algérie, les États-Unis, la Chine, le Maroc, l'Espagne, la République du Congo, la République démocratique du Congo, le Maroc, le Niger et le Koweït.

Le président français Emmanuel Macron et d'autres personnes présentes à la conférence ont appelé d'autres pays, comme la Turquie, à retirer sans délai leurs troupes de Libye.

Une dizaine d'années après le renversement de Mouammar Kadhafi, la Libye est toujours un pays fragmenté.

Le dernier gouvernement d'union nationale semble régner sur toute la Libye mais en pratique, le contrôle de l'est du pays reste aux mains du général Khalifa Haftar.

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