(IP) - L'action du gouvernement suédois dans l'arrestation et le procès illégaux et inhumains de Hamid Nouri, un citoyen iranien à cause des liens étroits de ce gouvernement avec des groupes dissidents et terroristes anti-iraniens, est une raison claire pour que la Suède devienne un refuge pour les terroristes.

Iran Press/Nouvelle d'Iran: Le citoyen iranien, Hamid Nouri a été arrêté par les forces de sécurité suédoises le 9 novembre 2019, à son arrivée en Suède pour régler les différends familiaux de sa fille adoptive, et est en prison depuis près de 30 mois.

Suite à son arrestation, Hamid Nouri n'a pas été autorisé à contacter sa famille pendant quatre mois, ce qui est en violation de l'ensemble du droit international, et la justice suédoise n'a pas non plus autorisé ce citoyen iranien qui est détenu à l'isolement, à rendre visite à sa famille pendant deux ans; Cependant sa famille s'est rendue plusieurs fois en Suède pour lui rendre visite, mais il n'a pas été possible de le rencontrer.

Les Suédois, qui prétendent soutenir les droits de l'homme comme d'autres États occidentaux, ont violé les droits personnels de Hamid Nouri lorsqu'il a été battu pendant sa détention par la police alors qu'il était privé d'étudier son acte d'accusation, détenu à l'isolement, incapable de communiquer avec sa famille et s'est vu refuser l'accès à un médecin.

Mais en attendant, les hypocrites, qui sont eux-mêmes à la pointe des crimes contre le peuple iranien et ont tué plus de 17 milles iraniens, ont depuis des années fait de la Suède l'un de leurs refuges. Les hypocrites erre librement au Suède, viole les droits de l'homme, utilise les privilèges du gouvernement suédois et ne ménagent aucun effort pour frapper la République islamique d'Iran. 

Afin de rendre la parodie de procès de Hamid Nouri plus attrayant, le gouvernement suédois a déplacé le tribunal en Albanie, le quartier général des hypocrites, pendant deux semaines afin qu'il puisse recueillir le témoignage de plus d'hypocrites.

Cependant, bien que le système judiciaire de la République islamique d'Iran a déployé des efforts considérables pour faire respecter les droits des citoyens iraniens, le système judiciaire hypocrite suédois n'a pas permis à l'Iran d'intervenir dans l'affaire d'Hamid Nouri, malgré de nombreuses interventions d'hypocrites.

À cet égard, le secrétaire général du Bureau iranien des droits de l'homme et l'adjoint des affaires internationales du pouvoir judiciaire d'Iran, Kazem Gharibabadi, en réponse à l'arrestation de ce citoyen iranien, a qualifié les mauvais traitements subis lors de son arrestation et le non-respect de la dignité humaine de violation de la Convention de 1963 de Vienne.

Kazem Gharibabadi a déclaré que l'absence d'enquête approfondie et indépendante par le procureur suédois et de publication d'un acte d'accusation basé sur les déclarations biaisées et sans fondement de certains membres du groupe terroriste hypocrite, le manque d'accès à un avocat et l'autorisation de le défendre devant le tribunal, est une preuve irréfutable de la parodie de procès d'Hamid Nouri.

Auparavant, l'ambassadeur de Suède à Téhéran avait été convoqué au ministère des affaires étrangères de l'Iran à la suite du maintien en détention politique de Hamid Nouri, et avait été informé des vives protestations de la République islamique d'Iran.

Dans cette convocation, le ministre adjoint et directeur général de l'Europe de l'Ouest du ministère des affaires étrangères de l'Iran a considéré le procès et l'arrestation de Hamid Nouri comme totalement illégaux et sous l'influence d'actions mensongères et d'instigations du groupe terroriste d'hypocrites et a fermement condamné le atmosphère hostile contre la République islamique d'Iran.

Un aperçu de la conspiration derrière le procès d'Hamid Nouri révèle que le gouvernement suédois, en allouant des dizaines de millions d'euros, a laissé le pouvoir judiciaire aux mains du groupe terroriste d'hypocrites et insiste pour poursuivre la politique de soutien aux terroristes et aux programmes de sabotage contre la République islamique d'Iran.

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