Au cours des négociations techniques entre l'Iran et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) deux litiges ont été résolus.

Iran Press/ Nouvelles d'Iran : Une source d'information a déclaré, ce mardi 30 mai à Iran Press, que deux litiges ont été résolus au cours des pourparlers techniques entre l'Iran et l'Agence internationale de l'énergie atomique.

L’un de ces deux procès est à propos des trois sites nucléaires présumés de l'Agence internationale de l'énergie atomique, et le procès d'un site a été résolu, et après les négociations entre l'Iran et l'Agence, le nombre de cas restants dans ce domaine, (selon les occidentaux les sites non déclarés), a réduit à deux points.

Dans ce domaine, l'affaire connue sous le nom d'Ābādeh (Marivan) a été classée.

En outre, l'autre affirmation de l'Agence internationale de l'énergie atomique concernant les particules à 83,7 % a été conclue lors des négociations techniques entre l'Iran et l'Agence et finalement résolue avec les explications techniques de l'Iran.L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) avait précédemment affirmé avoir découvert en Iran des particules d'uranium enrichi à plus de 83%. 

L’Iran a également accepté d'installer un certain nombre de caméras dans les installations nucléaires d'Ispahan ( située dans le centre de l'Iran). Près d'un tiers des caméras sont installées hors ligne et aucune information n'est transmise.

L'une des raisons les plus importantes de l'atmosphère positive entre l'Iran et l'Agence internationale de l'énergie atomique, se considère le voyage du directeur de l’AIEA Rafael Grossi à Téhéran en mars 2023 et la rencontre mais aussi les négociations avec de hauts responsables iraniens, en particulier la rencontre avec le président de la République islamique d’Iran Ebrahim Raïssi.

Lors de cette réunion, le président Raïssi a précisé : « L'Iran a eu le plus haut niveau de coopération avec l'Agence, basée sur la bonne foi, et cette coopération professionnelle se poursuivra sans l'ingérence des puissances dominatrices ».

Actuellement et avec le règlement de deux importants litiges entre l'Iran et l’AIEA, la création d'une atmosphère positive par les pays occidentaux dans leurs programmes politiques est possible.

Auparavant, les Etats-Unis et les 3 pays européens parties à l’accord sur le nucléaire iranien (Royaume-Uni, France et Allemagne) conclu en 2015, avaient soumis une nouvelle résolution dénonçant le manque de coopération de Téhéran, notamment à propos de l’absence d’avancées sur la question de trois sites non déclarés, où des traces d’uranium. 

L’Iran avait rejette cette démarche et souligné : « Ces pays ont rédigé une résolution et apporté des documents dont ils savent eux-mêmes qu’ils ne sont pas vrais et rejetés par la République islamique ».

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