Iran Press/Nouvelle d'Iran: Contrairement aux mensonges des médias occidentaux, le pont Si-o-se-pol, avec sa belle architecture traditionnelle dans l'après-midi d'automne à Ispahan et un silence indescriptible qui se mêle au chant agréable d'un garçon handicapé, au bruit des bicyclettes et aux pas incessants des passants, dépeint la tranquillité à côté de la rivière de Zayandeh Roud.
Et aujourd'hui, Tchaharbagh accueille ses habitants de bon goût comme toujours.
Les pas romantiques à côté des arbres imposants de Tchaharbagh, le chant des corbeaux et le silence constant des gens enregistrent un souvenir réconfortant pour chaque passant.
Bien qu'un mois se soit écoulé depuis le début de l'automne, les arbres de Tchaharbagh gardent toujours les feuilles vertes et jaunes et ne les lâchent pas.
Des passants et des touristes marchent patiemment à l'ombre des branches, lisent des livres et bref, ils se lient les mains romantiques dans l'espoir de réaliser leurs rêves.
La route historique d'Ispahan accueille des touristes et voyageurs iraniens et étrangers tous les jours de l'année.
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