Iran:

Le Secrétaire général adjoint au Haut Conseil des droits de l'homme de la République islamique d'Iran, a déclaré que la part des pays impliqués dans le crime de bombardement chimique de Sardasht devrait être déterminée.

Iran Press/ Nouvelle d Iran: Le Secrétaire général adjoint au Haut Conseil des droits de l'homme de la République islamique d'Iran, Kazem Gharibabadi,en évoquant les crimes contre les droits de l'homme commis par les États-Unis et le soutien du pays au régime de Saddam pendant la guerre imposée, a souligné que la part et la responsabilité des pays impliqués dans le crime de bombardement chimique de Sardasht doit être déterminé.

Le bombardement chimique de Sardasht était un crime de guerre et un bombardement que l'armée de l'air du régime baathiste d'Irak a effectué le 28 June 1987, à l'aide de bombes chimiques, dans quatre zones surpeuplées de la ville de Sardasht en Iran.

Dans cette attaque, 110 habitants civils de la ville ont été tués et huit mille autres ont été exposés à des gaz toxiques et ont été empoisonnés.

Concernant le rôle des pays occidentaux dans la tragédie de Sardasht, Gharibabadi a ajouté : "La République islamique d'Iran est victime d'armes de destruction massive ; suite à l'utilisation d'armes chimiques contre le peuple iranien, plus de 13 000 personnes ont été martyrisées et plus de 100 000 personnes ont été blessées ; même maintenant, certains de nos vétérans de la chimie sont martyrisés au quotidien."

Il a déclaré: "Selon un rapport publié il y a quelques années par l'Organisation pour l'interdiction des armes nucléaires basée à La Haye, plus de 15 pays, principalement européens, ainsi que les États-Unis, ont joué un rôle dans l'équipement du régime de Saddam en armes chimiques. ; ces pays doivent être tenus responsables maintenant.

 

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