Iran Press/Europe: Le principal négociateur nucléaire iranien, Ali Bagheri Kani et le coordinateur de l'Union européenne aux pourparlers de Vienne, Enrique Mora se sont rencontrés à Vienne, capitale de l'Autriche jeudi à midi pour discuter sur la reprise des pourparlers sur la levée des sanctions.
L'équipe de négociation de la République islamique d'Iran dirigée par Ali Bagheri Kani, le vice-ministre des affaires étrangères chargé des affaires politiques est arrivée jeudi matin à Vienne pour participer au nouveau cycle de négociations visant à lever les cruelles sanctions américaines.
L'accord de Vienne sur le nucléaire iranien ou le Plan d'action global commun (PAGC) a été signé entre la République islamique d'Iran et le groupe P5 + 1 (Russie, Chine, Royaume-Uni, Allemagne, France et pays d'Amérique) en 2015, mais les américains se sont retiré illégalement de cette accord le 18 mai 2018 et ont réimposé des sanctions illégales à l'Iran.
Les pourparlers de Vienne étaient une initiative centrée sur la levée des sanctions contre l'Iran, mais le refus des parties occidentales de respecter leurs engagements envers le PAGC a retardé le processus de négociations.
Le huitième cycle de pourparlers sur les sanctions a commencé à Vienne le 27 décembre 2021, à Vienne, après une courte pause entre la République islamique d'Iran et le groupe P4+1 (Russie, Chine, Royaume-Uni, Allemagne et France).
Plus tôt mercredi, le porte-parole du ministère iranien des affaires étrangères, Nasser Kanaani a annoncé que ce cycle de pourparlers se tiendrait comme auparavant avec la coordination de l'Union européenne.
Il y aura une discussion et un échange de vues sur les idées présentées par les parties, y compris les idées présentées par la République islamique d'Iran, qui ont été présentées à l'autre partie plus tôt cette semaine, a ajouté Nasser Kanaani.
Dans un tweet mercredi soir, Ali Bagheri Kani a écrit: "En route pour Vienne pour faire avancer les négociations. La responsabilité incombe à ceux qui ont violé l'accord et qui n'ont pas réussi à s'éloigner d'un héritage inquiétant."
417