Iran Press/Nouvelle d'Iran: La résolution proposée par les américains et les trois pays européens (l'Allemagne, la France et le Royaume-uni) a été adoptée le mercredi soir 8 juin lors d'une réunion trimestrielle du conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), malgré une forte opposition de la Chine et de la Russie.
Le ministre des affaires étrangères de la République islamique d'Iran, Hossein Amir-Abdollahian et le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres ont discuté sur certains développements régionaux et internationaux lors d'un entretien téléphonique.
En exprimant son soutien à la poursuite du cessez-le-feu au Yémen, le ministre des affaires étrangères de la République islamique d'Iran a souligné la nécessité de lever complètement le blocus humanitaire et l'a considéré comme une bonne plateforme pour entamer davantage de pourparlers entre les groupes yéménites.
En se référant à son entretien avec son homologue syrien hier, Hossein Amir-Abdollahian a qualifié la poursuite de l'agression du régime d'israél sur le sol syrien et l'attaque militaire contre l'aéroport civil de Damas de violation flagrante des principes de la charte des Nations Unies et a ajouté que la stabilité de la région reviendra à lui-même.
Dans cet entretien téléphonique, Antonio Guterres a souligné l'importance de poursuivre les pourparlers de Vienne pour la levée des sanctions et a considéré la diplomatie comme le meilleur moyen de résoudre les différends entre la République islamique d'Iran et certaines autres parties des pourparlers de Vienne.
Le secrétaire général des Nations unies a également qualifié la récente résolution de l'Agence internationale de l'énergie atomique sur l'Iran de simple recommandation et a souligné l'importance de poursuivre les négociations.
Antonio Guterres a également salué les efforts et les positions constructives de la République islamique d'Iran en faveur de la poursuite du cessez-le-feu, concernant la crise au Yémen.
Le secrétaire général des Nations unies a qualifié le sommet d'Astana sur la Syrie de bonne plate-forme pour aborder la crise et résoudre les éventuels problèmes entre la Syrie et la Turquie.
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