Téhéran (IP) - Le vice-président du pouvoir judiciaire pour les affaires internationales et secrétaire général du Haut Conseil des droits de l'homme de la République islamique d'Iran a qualifié la prochaine visite de la rapporteuse spéciale des Nations unies à Téhéran d'occasion pour enquêter sur les effets négatifs des mesures coercitives unilatérales à la nation iranienne.

Iran Press/Nouvelle d'Iran: Le vice-président du pouvoir judiciaire pour les affaires internationales et secrétaire général du Haut Conseil des droits de l'homme de la République islamique d'Iran, Kazem Gharibabadi a déclaré: "La visite de la rapporteuse spéciale des Nations unies, Alena Douhan à Téhéran est une occasion de se familiariser avec les effets destructeurs des sanctions sur le peuple iranien."

Kazem Gharibabadi a ajouté: "Suite à la demande de la rapporteuse spéciale des Nations unies de se rendre en Iran et l'acceptation de cette demande par Téhéran, Alena Douhan effectuera une visite de 11 jours en République islamique d'Iran à partir du 8 mai." 

Le secrétaire général du Haut Conseil des droits de l'homme de la République islamique d'Iran a ajouté: "La mission principale d'Alena Douhan est d'enquêter sur les impacts négatifs des mesures coercitives unilatérales aux droits de l'homme, et à cet égard, elle tiendra diverses réunions avec des représentants des agences gouvernementales iraniennes, du secteur privé et des non-organisations gouvernementales."

En 2014, le Conseil des droits de l'homme des Nations unies a adopté dans une résolution le mécanisme du rapporteur spécial chargé d'examiner les effets négatifs des mesures coercitives unilatérales sur la jouissance des droits de l'homme par les individus. Les pays occidentaux votent chaque année contre cette résolution.

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