"Ali Shamkhani", le secrétaire du Conseil de sécurité nationale de la République islamique d'Iran, a annoncé dimanche soir une conversation téléphonique avec "Ali Bagheri", le négociateur en chef de la République islamique d'Iran à Vienne.

Iran Press / Nouvelle d Iran: Le huitième cycle de pourparlers à Vienne, axé sur la levée des sanctions oppressives et illégales contre l'Iran, reprise le mardi 8 février, après une brève pause pour décisions politiques.

Les négociations à Vienne ont connu quelques progrès grâce aux initiatives de l'équipe de négociation iranienne
mais la réticence de l'occident, en particulier de l'administration Joe Biden, à compenser les actions illégales de l'ancienne administration américaine et à continuer à exercer une pression maximale, a jeté le doute sur le sérieux du pays à revenir à l'accord nucléaire et à prolonger les pourparlers.

"Shamkhani", le secrétaire du Conseil de sécurité nationale de la République islamique d'Iran, sur Twitter, évoquant sa conversation téléphonique avec "Ali Bagheri", le vice-ministre politique de la République islamique d'Iran, a souligné la difficulté des négociateurs iraniens et a écrit: 

"La conversation téléphonique de ce soir avec le Dr Bagheri a confirmé deux déclarations dans mon esprit au sujet des pourparlers de Vienne :

1. Augmenter d'instant en instant la difficulté du travail des négociateurs iraniens pour faire avancer les instructions logiques et légales de Téhéran.

2. Continuer à "montrer" l'initiative des parties occidentales pour se soustraire aux engagements.

  La République islamique d'Iran, en tant que pays responsable, a déclaré à plusieurs reprises qu'étant donné que les États-Unis sont partie à la violation de l'accord nucléaire, c'est Washington qui doit revenir à l'accord avec la levée des sanctions et le respect des Les obligations américaines doivent être vérifiées."

 

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