Iran Press/Nouvelle d Iran : L'ambassadeur et représentant permanent d'Iran auprès de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et d'autres organisations internationales à Vienne, Kazem Gharibabadi a souligné que la République islamique d'Iran est le pays le plus transparent dans la mise en œuvre de ses propres engagements nucléaires et reçoit le plus d'inspections et de visites de l'AIEA.
Kazem Gharibabadi a déclaré que l'AIEA ne peut pas faire de demandes excessives au-delà du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP) et de l'Accord de sauvegarde, en ajoutant que l'observateur nucléaire est sous la pression de certaines parties.
L'ambassadeur et représentant permanent d'Iran auprès de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et d'autres organisations internationales à Vienne a ajouté que toutes les activités se déroulent conformément aux engagements et aux droits du pays en vertu du TNP et de l'Accord de sauvegarde.
Kazem Gharibabadi a noté que l'occident ne peut exiger la mise en œuvre des engagements de l'Iran en vertu de l'accord de Vienne sur le nucléaire iranien ou Plan d’action global commun (PAGC) car les pays occidentaux ne respectent mêmes pas leurs engagements envers le PAGC.
L'ambassadeur et représentant permanent d'Iran auprès de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et d'autres organisations internationales à Vienne a souligné que même les rapports de l'AIEA ne pouvaient fournir aucune base légale à de telles demandes injustifiées.
En réponse à un rapport du directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique, Kazem Gharibabadi a déclaré qu'il existe quatre problèmes de garanties entre l'Iran et l'AIEA, il a conseillé à cette organisation internationale de maintenir son indépendance, son impartialité et son professionnalisme.
Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi a allégué dans un rapport mardi soir que les activités de l'AIEA en Iran avaient été gravement affaiblies.
Suite au retrait unilatéral et illégal des américains du PAGC, le 8 mai 2018, sur ordre de l'ancien président américain donald trump, la République islamique d'Iran a tenté de maintenir l'accord de Vienne sur le nucléaire iranien à condition que les autres parties de cet accord respectent leurs obligations mais les européens ont échoué dans les mesures pratiques pour préserver le PAGC.
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