Iran Press/ Nouvelles d'Iran : La Commission d'enquête formée au sein du Parlement iranien pour analyser la mort de Mahsa Amini a annoncé, dimanche 16 octobre, qu'il n'y a pas eu d'agressions lors de l'arrestation et du transfert Mme Amini au commissariat de la sécurité publique.
Selon le rapport de cette commission, considérant des mesures médicales prises pour la défunte depuis le moment de l'incident jusqu'au moment du décès à l'hôpital, aucune négligence ou faute n'a été constatée de la part du service des urgences du pays et de l'hôpital Kasra de Téhéran.
Cependant, le niveau et la qualité des mesures de traitement entre le moment de la chute de Mme Amini au sol et l'arrivée des secours, qui a duré 10 minutes, est digne de considération, a détaillé cette commission.
Il convient de noter que sur la base des dossiers médicaux hospitaliers, de la tomodensitométrie du cerveau et des poumons, des résultats de l'examen physique du corps et de l'autopsie, des tests de pathologie, le décès mentionné n'a pas été causé par des coups à la tête et aux organes et éléments vitaux du corps.
Suite au malheureux incident survenu à Mahsa Amini, la Commission des affaires intérieures et des conseils du Parlement iranien a été chargée d'enquêter sur l'incident sur ordre de Mohammad Baqer Qalibaf, le président du Parlement iranien.
Le jeudi 15 septembre, Mahsa Amini qui a été dirigée vers l'un des services de police de Téhéran pour explication et formation, a été transférée à l'hôpital avec la coopération de la police et des urgences en raison d'un problème cardiaque, mais malheureusement elle est décédée.
Les ingérences de certaines autorités européennes dans des récents événements survenus en Iran ont provoqué la réaction du pays, de sorte que les ambassadeurs de Suède, du Royaume-Uni et de France à Téhéran ont été convoqués pour recevoir la protestation de la République islamique d'Iran.
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