Iran Press/Nouvelle d'Iran: En s'exprimant lors de la première conférence internationale sur les droits de l'homme axée sur l'impact des sanctions cruelles sur la santé des patients qui s'est tenue mercredi, le secrétaire du Haut Conseil des droits de l'homme de la République islamique d'Iran, Kazem Gharibabadi a déclaré: "Les sanctions sont divisées en deux catégories qui sont les sanctions internationales et les sanctions unilatérales."
Kazem Gharibabadi a ajouté: "Les sanctions internationales sont soumises à des limitations fondées sur le chapitre sept de la charte des Nations Unies, et certaines des dispositions de cette charte mettent l'accent sur le respect des droits de l'homme."
Le secrétaire du Haut Conseil des droits de l'homme de la République islamique d'Iran a poursuivi : "Les sanctions unilatérales ne signifient pas que d'autres pays devraient les suivre, et les américains et l'Union européenne des annonciateurs de sanctions unilatérales".
Kazem Gharibabadi a en outre déclaré qu'un pays ne peut pas imposer de sanctions à d'autres pays et a ajouté: "Les américains impose ses décisions à d'autres pays, aujourd'hui."
En soulignant que les sanctions unilatérales sont contraires aux droits de l'homme, le secrétaire du Haut Conseil iranien des droits de l'homme a annoncé: "Les pays qui soutiennent les sanctions unilatérales et les appliquent, leur action est contraire aux droits de l'homme et viole leurs obligations envers les droits de l'homme."
En soulignant que les pays qui prétendent être défenseurs des droits de l'homme le violent, Kazem Gharibabadi a déclaré: "Aujourd'hui, les pays qui disent d'arrêter les exécutions, font mourir chaque année des dizaines de milliers de personnes grâce aux politiques qu'ils mettent en œuvre."
Le secrétaire du Haut Conseil iranien des droits de l'homme a annoncé: "Aujourd'hui, les américains et les pays européens cherchent à détruire les infrastructures et à mettre en danger des vies humaines en mettant en œuvre des sanctions dans divers domaines."
En notant l'allégation de l'occident concernant la violation des droits de l'homme par l'Iran, Kazem Gharibabadi a déclaré: "Sans aucune raison ni procès, les autorités nous ont mis sur leur liste de sanctions et il n'y a pas de procès dans ce domaine."
En soulignant que les sanctions manquent de respect des droits de l'homme, de légitimité et contredisent la Charte des Nations Unies, le secrétaire du Haut Conseil des droits de l'homme de la République islamique d'Iran a déclaré: "Plus de 44 journalistes travaillent dans le domaine des sanctions sous la supervision des Nations unies, et lorsqu'un journaliste devait être sélectionné concernant les sanctions contre l'Iran, les pays européens s'y sont opposés, alors que ces pays prétendent soutenir les droits de l'homme, mais les pays européens ne supportent même pas d'entendre des critiques dans le domaine des sanctions."
417