Au même moment où les missiles et drones iraniens frappent des bases militaires du régime criminel israélien, des sources palestiniennes font état d'une opération martyre au nord de Ramallah, en Cisjordanie.

Selon l'agence de presse Iran Press, au même moment, une source bien informée a annoncé que si le régime occupant israélien prend des mesures contre l'Iran, Téhéran agira certainement avec plus de sévérité immédiatement.

Cette source a souligné qu'après la fin de l'opération punitive de l'Iran et du front de résistance, si le régime criminel israélien veut donner une réponse, la prochaine punition sera certainement immédiate et avec une double sévérité.

Le Corps des Gardiens de la révolution islamique (CGRI) iranien a lancé tôt ce matin une frappe de représailles sur plusieurs sites dans les territoires occupés, en réponse à l’attaque terroriste du régime criminel israélien contre la section consulaire de l'ambassade de la République islamique d'Iran à Damas, le 1er avril 2024.

Le lundi 1er avril 2024, l'attaque terroriste du régime criminel israélien contre la section consulaire de l'ambassade de la République islamique d'Iran à Damas, capitale de la Syrie a eu lieu. À la suite de cette attaque terroriste, les généraux Mohammad Reza Zahedi et Mohammad Hadi Haji Rahimi et cinq de leurs compagnons ont été martyrisés.

Étant donné que les établissements diplomatiques ont droit à une plus grande protection contre les attaques ou autres ingérences du pays hôte en vertu du droit international coutumier, tel que codifié dans la Convention de Vienne de 1961 sur les relations diplomatiques et la Convention de 1963 sur les relations consulaires, les forces iraniennes ont lancé une attaque calculée contre des cibles du régime occupant israélien, signalant leur détermination à défendre le territoire iranien et à riposter contre une agression perçue.

"Lorsqu’ils attaquent notre consulat, c’est comme s’ils ont attaquéf notre sol", a déclaré mercredi le Guide suprême de la République islamique d'Iran, l'Ayatollah Seyed Ali Khamenei, dans un discours marquant la fin du mois sacré du Ramadan.