(IP) - Le porte-parole du ministère des affaires étrangères de la République islamique d'Iran a rejeté l'approbation de la résolution anti-iranienne à la troisième commission de l'Assemblée générale des Nations Unies et la proposition de cette résolution par le Canada et de certains pays occidentaux et la répétition des allégations sans fondement fondées sur des fausses informations et des généralisations malhonnêtes qui n'ont aucun fondement juridique.

Iran Press/Nouvelles d'Iran: Mercredi, la troisième commission de l'Assemblée générale des Nations Unies a voté à faible majorité en faveur de la résolution proposée par le Canada concernant la question des droits de l'homme en Iran.

Chaque année, la troisième commission de l'Assemblée générale des Nations Unies vote une résolution proposée par le Canada sur la situation des droits de l'homme en Iran.

Cette résolution anti-iranienne a été approuvée avec 79 voix pour alors que 28 pays s'y sont opposés et 68 pays se sont abstenus.

Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères de la République islamique d'Iran, Nasser Kanani a déclaré: "L'approbation de la résolution anti-iranienne et de telles mesures non constructives non seulement ne contribuent pas à améliorer la situation des droits de l'homme au niveau mondial, mais provoquent également la poursuite des stéréotypes négatifs et de l'étiquetage politique contre les pays indépendants."

En se référant aux tentatives des pays occidentaux pour poursuivre le projet anti-iranien, Nasser Kanani a ajouté: "Ces pays, qui ont une longue histoire de violation systématique des droits de l'homme et les peuples du monde entier se souviennent des expériences amères de leur ingérence, ne sont pas en mesure de donner conseils en matière de droits de l'homme au gouvernement et à la nation iranienne.

Le porte-parole du ministère iranien des affaires étrangères a également condamné l'action du gouvernement canadien et des autres fondateurs de cette résolution qui est un exemple clair de l'utilisation abusive des concepts et des hautes valeurs des droits de l'homme pour promouvoir des objectifs politiques à courte vue, et a estimé qu'elle manque de légitimité et de validité.

En notant que la République islamique d'Iran est un système basé sur la démocratie religieuse, Nasser Kanani a ajouté que l'Iran a toujours été très sérieux dans la promotion des droits de l'homme et le respect de ses engagements internationaux.

"L'Iran est prêt à avoir un dialogue et une coopération constructifs dans le cadre du respect mutuel, de l'égalité et de la justice, et loin des exigences politiques excessives avec tous les mécanismes internationaux légitimes et les pays intéressés à renforcer et à soutenir les droits de l'homme conformément à ses politiques de principe", a conclu le haut diplomate iranien.

417