Suite aux réactions des pays d'Amérique latine face aux crimes sionistes à Gaza, le gouvernement du Belize a suspendu ses relations diplomatiques avec le régime sioniste.

Iran Press/ Le Monde: Dans un communiqué, le gouvernement du Belize en Amérique latine a qualifié les actions agressives du régime sioniste de « bombardements aveugles et incessants » et a annoncé la fin des relations diplomatiques avec ce régime.

Les crimes du régime sioniste ont suscité de vives réactions dans les pays d’Amérique latine.

Auparavant, le Venezuela avait demandé au régime sioniste de mettre fin à l'occupation de la Palestine et avait également souligné la nécessité de trouver une solution à la situation actuelle et de mettre fin à la violence dans toute la région par le biais de pourparlers directs.

Le Nicaragua a condamné fermement l'escalade du terrible conflit entre Israël et la Palestine.

Le gouvernement cubain a également exprimé sa « grave préoccupation » et a souligné dans un communiqué que ce conflit est « une conséquence de 75 ans de violations permanentes des droits inaliénables du peuple palestinien et de la politique agressive et expansionniste d'Israël ».

Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a également condamné l'incapacité du monde à prévenir les crimes du régime sioniste dans la bande de Gaza.

Les présidents colombien et chilien, Gustavo Petro et Gabriel Burich, ont également annoncé qu'ils avaient rappelé leurs ambassadeurs des territoires occupés afin d'évaluer l'importance de maintenir les échanges diplomatiques avec le régime du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour protester contre l'attaque militaire massive d'Israël contre les territoires occupés.

Le Mexique, la Bolivie et l’Argentine font partie des autres pays d’Amérique latine qui ont condamné les crimes des sionistes.

L'opération "Tempête d'Al-Aqsa" de la résistance palestinienne est entrée dans son 40ème jour alors que le régime sioniste attaque des hôpitaux en plus de tuer des femmes et des enfants et de commettre des crimes de guerre dans ses attaques sur la bande de Gaza. Ce régime a également empêché l'entrée de carburant dans la bande de Gaza pour alimenter en électricité les hôpitaux, ce qui a entraîné des pannes de générateurs dans les hôpitaux et des coupures de courant.

 

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