Iran Press/ Nouvelle d Iran:Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique, Rafael Grossi, s'est adressé aux membres du Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA); "L'Iran n'a fourni aucune explication techniquement valable concernant les découvertes de l'AIEA dans les trois endroits non divulgués en Iran."
Ce n'est pas la première fois que le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique fait des allégations antinucléaires malgré l'entière coopération de l'Iran et des inspections approfondies du programme nucléaire pacifique de l'Iran.
Behrouz Kamalvandi,le porte-parole de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique, a déclaré mercredi : "Malheureusement, le rapport du directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique sur le programme nucléaire iranien ne reflète pas la coopération et la bonne volonté de la République islamique d'Iran."
Le porte-parole de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique a déclaré :"Trois pays européens, ainsi que les États-Unis, ont pris des mesures et l'Iran a également décidé de suspendre une partie de la coopération, qui ne faisait pas partie de ses obligations et reposait sur la bonne volonté de l'Iran."
Kamalvandi a ajouté : « 80 % des caméras de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) dans les installations nucléaires iraniennes sont des caméras de sécurité, et les caméras qui seront coupées aujourd'hui sont des caméras supplémentaires, et l'AIEA ne peut plus utiliser leurs informations.
Il a exprimé l'espoir que l'Agence internationale de l'énergie atomique changerait d'approche, faute de quoi elle ne pourrait pas attendre de la République islamique d'Iran qu'elle coopère en échange d'une non-coopération.
L'Organisation iranienne de l'énergie atomique a déclaré que la République islamique d'Iran avait jusqu'à présent coopéré de manière approfondie avec l'Agence internationale de l'énergie atomique, mais malheureusement, sans considérer que cette coopération est due à la bonne volonté de l'Iran, non seulement l'Agence n'a pas apprécié cette coopération, mais l'a également considérée comme un devoir de l'Iran.
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